La technologie IO-Link : 5 avantages parmi de nombreux
La technologie IO-Link a maintenant fait ses preuves et est grandement appréciée par ses utilisateurs et par les fournisseurs de solutions d’automatisation industrielle, mais elle reste une énigme pour d’autres. Sommairement, IO-Link est un système de communication ouvert permettant une transmission bidirectionnelle des données entre capteurs et actionneurs. Autrement dit, les capteurs et les actionneurs participent de manière active au sein d’un réseau d’automatisation cohérent.
FAT (test d’acceptation en usine), les 5 clés pour un test réussi
De nos jours, les normes de qualité sont de plus en plus exigeantes et le processus de fabrication se doit d’être rigoureux afin de les respecter. Les tests d’acceptation en usine, aussi appelés communément FAT (factory acceptance test), permettent de valider que l’équipement produit répond aux exigences demandés avant la livraison d’un projet.
L’appareil doit être approuvé CSA; Vraiment ?
L’expression approuvée CSA est souvent utilisé tout comme nous utilisons les expressions Frigidaire pour désigner un réfrigérateur et Kleenex pour un mouchoir. Dans les faits, le terme CSA (Association Canadienne de Normalisation) désigne un organisme de normalisation reconnu tout comme l’est cUL (Underwriters Laboratories) ainsi que plusieurs autres reconnus par la RBQ (Régie du Bâtiment du Québec).
L’avenir prometteur de la robotique
Depuis maintenant plusieurs années, la robotique industrielle gagne ses lettres de noblesse partout dans le monde. Mais le Québec est encore loin de pouvoir rivaliser avec des pays comme la Chine, la superpuissance industrielle. Qu’à cela ne tienne, la robotique demeure un vecteur important de la relance économique du Québec. Et le gouvernement du Québec en sait quelque chose. C’est pourquoi ce dernier est aujourd’hui prêt à ouvrir les coffres de l’État pour aider les propriétaires d’entreprises à miser sur des innovations… comme la robotique et l’automatisation.
La place de la robotique industrielle au Québec
Depuis maintenant plusieurs années, le secteur manufacturier prend d’assaut le virage 4.0 et la robotique industrielle ne cesse de gagner du terrain. Alors que la croissance la plus importante dans l’industrie de la robotique se trouve en Chine, au Japon et en Corée, le secteur manufacturier québécois demeure à la traîne en matière de robotique industrielle, mais s’engage à prendre ce virage essentiel au progrès de l’ensemble du secteur.